Rien. Ou presque. Javier Paker a aimablement présenté Jacques Willemont en signalant qu'il était à l'origine du festival.
Celui-ci a évité de faire état de ce qui figure dans ce blog, se contenant de rappeler que la France étant un tout petit pays frileux, le poids des mandarins est disproportionné. Et de citer Yves Cousteau, Haroun Tazieff, ... qui, paraît-il, ont agi de même que Rouch à l'égard de leurs jeunes concurrents.
Avant la présentation Javier Paker et lui avaient évoqué le poids de la télévision sur l'orientation prise par le documentaire aujourd'hui et, tout particulièrement, celui qui s'intéresse aux autres cultures.
Aussi, Jacques Willemont a proposé qu'à la suite de la projection du film Trobriand Cricket, on évoque la possibilité de présenter à un large public de tels films. Parce que le "Bilan du film ethnographique" qui a lieu depuis plusieurs années au musée de l'homme est surtout fréquenté par des professionnels et des étudiants.
Mais, il y a eu un retard occasionné par le sous-titrage du film et, la projection terminée, il fut demandé aux spectateurs ... de se tirer.
Une alerte à la bombe, des problèmes matériels, ... mais l'accueil était chaleureux, la vérité rétablie pour quelques spectateurs et, c'est le plus important, le film a été apprécié.
Longue vie à "Cinéma du réel". "Je reviendrai en 2028 pour le cinquantième anniversaire" a conclu Jacques Willemont.
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